Hyperborea vous met à la tête d’un peuple aux spécificités propres : ainsi les elfes sont-ils des voyageurs aguerris alors que le duché carmin est surtout composé de gros bouchers, par exemple. Vous aurez ainsi le choix entre 6 peuples, chacun ayant un pouvoir à tirer au hasard parmi deux possibles.
Ensuite, un tour de jeu va consister à tirer des dés de couleur dans un sac, et les mettre dans l’emplacement idoine de son plateau individuel pour se donner des possibilités à ce tour ou préparer les tours suivants. Cela va être par exemple d’explorer le terrain, le jeu affichant un brouillard de guerre, combattre ses petits voisins ou les sinistres spectres, développer sa culture, gagner de l’argent, se défendre, ou avancer technologiquement. Tout est possible, et comme dans tous les bons jeux il n’y a pas de mauvais choix à condition d’être cohérent. Ainsi, vous allez progressivement remplir votre sac, élargissant votre champs du possible de nouveaux cubes, et avançant progressivement vers l’objectif que vous vous êtes fixés. Une erreur aura donc des conséquences, mais ne sera jamais punitive, car il est toujours possible de se réorienter.
Hyperborea vous demande donc de calculer à court, moyen ou long terme, puisque par exemple un soldat qui explore une ruine en tirera bénéfice, mais restera bloqué là-bas jusqu’à la prochaine remise à zéro, véritable coeur du jeu lors duquel tous les cubes retournent dans le sac. Il s’agit donc, puisque l’on joue trois cubes par tour, de la faire advenir au bon moment, ce qui peut se prévoir en étant attentif.
Quelques images valant parfois mieux que beaucoup de mots, voici sans plus attendre notre vidéo de démo !