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Dishonored Definitive Edition : c’est le moment de vous rattraper



DishonoredDefinitiveEdition-hautAlors nous n’allons pas vous proposer un nouveau test, alors que notre ami ArtemusAlbian vous a déjà proposé sa prose. Cela dit, pour les flemmard du clic, on peut tout de même résumer ici les grandes lignes du soft. 

Un gameplay à la carte 

Vous incarnez Corvo, un homme au service de l’impératrice. Revenant de mission pour elle, vous assistez, médusé, à son assassinat et à l’enlèvement de sa fille. Comble du comble, vous voilà accusé du méfait. Ni une ni deux, on vous jette en prison comme un malpropre. Heureusement, des inconnus vous aident à vous échapper. 

Voici notre Press Start : 

Parlons un peu de l’ambiance. C’est du steampunk, à n’en pas douter. Des habits très victoriens et  des machines élaborées qui ne fonctionnent pas à la vapeur mais à l’huile de baleine. Les décors de la cité de Dunwall sont magnifiques. On prend ainsi beaucoup de plaisir à simplement se promener, à visiter les lieux, à observer tous les détails. 

Côté gameplay, on a un FPS qui nous propose plusieurs approches pour chaque objectif. Vous pouvez soit la jouer infiltration et assommer les gardes, soit faire un massacre en règle. Chacun verra midi à sa porte. Sachez simplement que votre façon de jouer aura une influence sur le monde qui vous entoure. Si vous être trop brutal, le monde deviendra sombre et la fin du jeu ne sera pas la même que si vous vous montrez clément. Cet aspect est pour beaucoup dans la qualité du jeu ! On aime beaucoup. Chaque situation vous proposera aussi différentes manières d’agir, passer par tel ou tel chemin, activer tel ou tel mécanisme. En substance, un FPS intelligent et bien foutu, on ne canarde pas à tout va. 

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Cela dit, vous disposez tout de même d’armes diverses et variées. Arbalète ou pistolet, à vous de choisir votre style. Vous avez aussi des pouvoirs, à choisir dans un arbre de compétences. Et ces choix auront un véritable impact sur votre façon de jouer. Et puis on peut mélanger les pouvoirs, essayez, vous serez conquis. 

On ne va pas épiloguer longtemps. Le titre est formidable. Il est fouillé et propose au joueur d’appliquer son propre style et ça c’est pas donné à tous les jeux. 

Notre vidéo de gameplay :

 

Statu quo sur les graphismes … ou presque

Disons les choses clairement. L’upgrade graphique n’est pas franchement hallucinant. Certes on constate ici et là une amélioration du niveau de détail des textures et un joli travail sur les éclairages mais ce n’est pas non plus une refonte graphique comme on a pu le voir sur d’autres titres récents. On pense notamment à God Of War III Remastered ou à The Nathan Drake Collection. Ici, c’est plus un portage sympathique. D’ailleurs on plafonne toujours à 30 fps, cela aurait été sympa de pouvoir bénéficier d’un peu plus. Mais ne boudons pas notre plaisir, la direction artistique est toujours aussi impressionnante et elle profite tout de même de ce léger upgrade graphique. 

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Parlons un peu des DLC disponibles dans cette version. Il y a Dunwall City Trials, The Knife Of Dunwall et The Brigmore WitchesDunwall City Trials propose 10 niveaux permettant d’entrainer Corvo à de nouvelles épreuves. Pas de scénario donc mais des défis divers et variés. Sympa. Les deux autres DLC constituent de nouvelles aventures solo. L’une comme l’autre sont honnêtes à défaut d’être totalement originales. Mais les fans apprécieront la possibilité de rallonger un peu l’aventure. 

Vous l’avez compris, cette version est la meilleure à ce jour même si on aurait aimé une vraie refonte graphique et quelques heures de jeu inédites. Mais c’est aussi parce qu’on aime ce jeu ! 

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Testé sur une version Xbox One