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Bioshock, Le Tombeau Sous-Marin, 1ère partie : sympa mais cher



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Ce DLC propose une aventure solo totalement nouvelle. Attention, ce n’est que la première partie de ce DLC qui est testé ici. 

Vous voilà donc de retour dans la belle et tourmentée Rapture. L’émotion est au rendez-vous, on a passé beaucoup d’heures en sa compagnie. Et puis on n’arrive pas à n’importe quel moment. C’est le 31 décembre 1958, le jour même où la ville sous-marine bascule totalement. Nous voilà donc projetés dans le futur, avec un Booker égal à lui-même et une Elisabeth qui a pris quelques rides, forcément, après toutes ces années. Elle est, cela dit, toujours aussi efficace pour vous fournir en Eve, Munitions, Santé et autres artefacts jaillis de ses fameuses failles. 

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La première partie de l’aventure nous montre une Rapture comme nous ne l’avons jamais vue. Tout va bien, les gens vaquent à leurs occupations, tout le monde a l’air heureux. On est loin de l’ambiance glauque des couloirs infestés de Chrosômes. Votre mission, retrouver une petite fille appelée Sally et c’est Elisabeth, que vous ne semblez pas connaître dans cette réalité, qui vous le demande. 

Vous devez, dans un premier temps, chercher quelques objets. C’est plutôt mou mais cela nous permet au moins de nous immerger dans cette ambiance bucolique. C’est seulement au bout d’une grosse demi-heure que les choses se corsent et donc deviennent intéressantes. A partir de ce moment là, les chrosômes vont se multiplier sur votre route. On retrouve donc le gameplay qui a fait les belles heures de Bioshock : mélange de plasmides et de flingues. Le plaisir est toujours bien là. On y affronte en plus un nouveau type de dingue : les chrosômes de glace qui sont particulièrement coriaces. Vraiment sympa. Et puis c’est aussi le retour de big daddy, là c’est encore plus sympa.

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Pour affronter ce beau monde, on nous fournit justement un nouveau plasmide : la glace. Vous pouvez ainsi immobiliser temporairement les adversaires ou encore transformer un flux d’eau en pont de glace. On ne va pas tout vous dévoiler mais vous aurez le droit aussi à un nouveau flingue et à un outil particulièrement dévastateur mais on ne vous en dit pas plus. 

Le level design joue la carte de l’open space. Les affrontements demandent donc beaucoup de vigilance et de mobilité. C’est bon pour les combats mais un peu moins pour l’ambiance. On regrette vraiment les couloirs glauques et étriqués des deux premiers Bioshock… 

En tout cas, les fans de la licence seront heureux de retourner à Rapture et malgré les petites réservés énoncées ici, le plaisir est indéniable.