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Sorties DVD : The Immigrant, Thor – Le Monde des Ténèbres & Hunger Games – L’embrasement



Encore une semaine qui voit un seul film à l’honneur. Il s’agit du dernier James Gray – The Immigrant – dans les bacs dès demain. Un seul film à l’honneur, mais un film inoubliable. Sinon, à noter également l’arrivée sur galette de deux blockbusters critiqués dans nos colonnes : les seconds volets de Thor (aujourd’hui) et de The Hunger Games (demain).

The Immigrant Une

 

The Immigrant

The Immigrant AfficheRéalisation : James Gray

Scénario : James Gray et Ric Menello

Casting : Marion Cotillard, Joaquin Phoenix, Jeremy Renner, Dagmara Dominczyk, …

Genre : Drame

Durée : 1h 57min

Sortie en salle : 27 novembre 2013

Support : DVD & Blu-Ray

Synopsis officiel : 1921. Ewa et sa sœur Magda quittent leur Pologne natale pour la terre promise, New York. Arrivées à Ellis Island, Magda, atteinte de tuberculose, est placée en quarantaine. Ewa, seule et désemparée, tombe dans les filets de Bruno, un souteneur sans scrupules. Pour sauver sa sœur, elle est prête à tous les sacrifices et se livre, résignée, à la prostitution. L’arrivée d’Orlando, illusionniste et cousin de Bruno, lui redonne confiance et l’espoir de jours meilleurs. Mais c’est sans compter sur la jalousie de Bruno…

Critiques de la presse : The Immigrant est un film classique au sens premier du terme : simple dans sa mise en scène comme dans la direction d’acteurs. Subtil et sans fioritures. Le drame qui s’y déploie se fait sournoisement, sans explosions. La tragédie y est à la fois morbide et majestueuse. Le tout est enveloppé d’une photographie sépia magnifique, collant parfaitement à l’époque et aux bas-fonds dépeints par le film. Et l’interprétation des acteurs est magistrale, misant tout sur l’émotion. S’il est vrai que Marion Cotillard livre une performance assez impressionnante (surtout dans une langue qui n’est pas la sienne), elle n’éclipse pas pour autant le talent de Jeremy Renner, mais aussi et surtout celui de Joaquin Phoenix, comédien ô combien bouleversant, et que James Gray arrive à chaque fois à sublimer.