New Delhi, USA. En lieu et place de New York se trouve la ville de New Delhi, ville peuplée d’indiens. La Grosse Pomme n’a rien à voir avec ce que l’on connaît de la culture américaine : vaches sacrées dans les rues, bouddhas, vêtements de couleurs vives…
Dans cette atmosphère épicée, la population est à la recherche de nouvelles technologies et de nouveaux espoirs pour l’humanité grâce à l’exploration dimensionnelle. De jeunes gens, des yogis, sont recrutés, formés et envoyés dans des dimensions parallèles à la recherche de ces nouveautés salvatrices.
Abha, une jeune femme, est l’une de ces yogis. Au retour d’un de ses voyages dimensionnels, elle est accusée d’être entré en contact avec une personne du monde qu’elle a visité. Le contact avec les observés est interdit. Dhaval, le responsable du centre d’exploration dimensionnel, un homme de coeur et de foi, la questionne et cherche à savoir si les rumeurs sur son compte sont vraies.
Après New Beijing et New Moscou, New Delhi est le dernier univers d’uchronies et de mondes parallèles à entrer en scène. Le résultat n’est pas désagréable mais pas passionnant non plus. C’est encore une fois tout le problème des scénarios de Corbeyran, cela peut être génial ou bien moyen, et là, on est plus près du moyen.
Nous avons déjà chroniqué un autre univers de la série Uchronies : New Moscou – Tome 1.
