A ses débuts, le cinéma puise son inspiration dans les fééries et les contes, des genres très en vogue sur les scènes parisiennes et européennes pendant tout le XIXe siècle. Bientôt, des personnages enchanteurs et diaboliques peuplent les films.
Ces mondes imaginaires s’animent sur les écrans grâce aux décors et aux costumes. Comme l’a initié Georges Méliès, la machine de l’illusion permet des effets d’optiques et des « trucs » techniques.
Pour attirer les spectateurs, cette magie est perceptible sur les affiches et les photos. L’industrie de l’imaginaire créée par Pathé se diffuse dans les foires et bientôt, les trucages des premiers films sont également utilisés dans les scènes historiques et dramatiques, pour attirer un nouveau public.
Au cours de cette exposition à découvrir en famille, un quiz est proposé aux jeunes visiteurs. Ils devront mener l’enquête mais également faire preuve d’imagination, afin de plonger un peu plus dans l’univers fantastamagorique du cinéma…
Les documents présentés au sein de l’exposition sont issus des collections de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé et de l’association des amis de Georges Méliès.
Informations pratiques
Fanstasmagories
Jusqu’au 14 mars 2017
A la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé
73 avenue des Gobelins, 75013 Paris