À l’instar de précédents volets déjà parus en critique, ce dernier épisode Let’s Sing en date nous vient toujours de Voxler et de Plaion à l’édition/distribution.
Modes de jeu
Comme les années précédentes, place d’abord aux modes de jeu. On ne risque pas de vous surprendre puisque nous sommes ici face à la même configuration que précédemment, même si l’interface visuelle a bougé afin de donner encore plus de lisibilité et de clarté par les couleurs. Autrement dit, à partir de la « Zone Karaoké », on retrouve le mode « Classique / Classic » (jouable en solo ou jusqu’à quatre) où il est question d’obtenir le meilleur score et le mode « Feat » (ou duo) mettant toujours en avant la synchronisation des voix.
On continue par la partie « Career Soundtown » comprenant le mode « Carrière ». Pas de bouleversement puisque comme la mouture 2025, ici nous « incarnons » encore une fois un(e) apprenti(e) artiste cherchant la gloire et la célébrité, avec le même type de scénarisations et de défis.
Terminons par la catégorie « LS Fest » qui pour rappel correspond à la section en ligne avec d’un côté le choix de se mesurer à la scène locale dans notre zone géographique avec la même liste de chansons de base, ou alors « Main Stage » c’est-à-dire l’ensemble du monde entier. Néanmoins dans ce cas, il faut être en possession du Passe VIP. En outre, on peut encore une fois se prendre au jeu des « Let’s Sing Music Awards », c’est-à-dire gravir le classement afin d’obtenir des récompenses exclusives. Et pour finir, l’avatar est également customisable. Vous l’aurez compris, rien n’a véritablement évolué du côté des modes de jeu et cela nous chagrine un peu dans le sens où l’on aurait bien aimé quelques surprises, malgré le fait que cela fonctionne toujours autant sur les bases.
Ah si, on note quand même un ajout appréciable lors des sessions en multi avec une « barre de progression » vers le bas de l’écran afin de vérifier où l’on se situe dans le système de classement (rang), et bien évidemment dans la compétition avec ses voisins. Autre élément à indiquer, « The Tube » servant à aider les novices en la matière à trouver une tonalité correspondante.
Toujours aussi festif, Playlist et informations sur le Passe VIP
Concernant le gameplay général, là encore il n’y a pas de bouleversement comparé à la version 2025, autrement dit on peut de nouveau prendre part à la chansonnette par le biais d’un microphone, d’un micro-casque et/ou d’un smartphone avec une application dédiée (le récapitulatif de prérequis sera indiqué dans la partie suivante de la critique). Rien de révolutionnaire pour la formule, mais c’est cet aspect permissif et accessible qui fait une nouvelle fois le charme de Let’s Sing, autant pour s’amuser rapidement que pour les moments de rire qui en découlent.
Par rapport à la Playlist qui fait plaisir à voir et à entendre, elle est plutôt qualitative on peut le dire, cette édition 2026 dispose de 40 chansons de base et encore une fois toute la partie francophone (et certaines chansons anglophones) est accessible par un code de téléchargement inclus dans la boîte (nous parlons ici de la version physique). Même son de cloche, les personnes ne souhaitant pas se connecter à internet ou n’y ayant simplement pas accès sont mises de côté, et c’est assez dommage. Pour ne pas changer des habitudes, vous retrouverez ci-dessous une photo de la Playlist complète en sachant qu’il y a du Bigflo & Oli (Dommage), Renaud (Mistral gagnant), Aya Nakumura (Copines) , Jean-Jaques Goldman (Quand la musique est bonne) ou encore Billie Eilish (Birds of a Feather), Twenty One Pilots (Stressed Out), Imagine Dragons (Sharks), etc…
2026 suit l’évolution de 2025, c’est-à-dire que pour cette dernière mouture en date, on retrouve le système du Passe VIP payant afin de « louer » 180 chansons de 1 à 12 mois, le prix maximum correspondant à l’année étant à 24,99€, même chose que pour l’année dernière donc. Sachez qu’il y a un mois de Passe VIP gratuit directement accessible dans les éditions physiques, et même si vous choisissez le dématérialisé (oui on a vérifié pour vous !). Bon évidemment, si vous voulez accéder à ce catalogue supplémentaire, là encore il vous faudra une connexion internet.
Légère évolution en mieux
On termine par l’axe visuel et technique, en sachant qu’il n’y a rien de vraiment nouveau sous le soleil. Autrement dit, nous sommes toujours face à des clips musicaux officiels et la modélisation des avatars n’a pas franchement évolué depuis le précédent opus, juste l’habillage global qui est plus coloré et agréable pour la rétine, et même plus lisible.
Dernière précision, pour l’utilisation de l’application dédiée sur Smartphone, cette fois il faut au minimum les prérequis suivants : les Android doivent être en 7.0 et les iPhones en version 16.
Testé sur Switch 2 via la rétrocompatibilité Switch à partir d’une version presse fournie par l’éditeur

