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Les César 2014 – La Bande Annonce du Jour : Blue Jasmine



Nous continuons notre tour d’horizon des films en compétition pour les Cesar 2014. Cette fois, un film qui concoure dans la catégorie « Meilleur film étranger ». Sachez aussi que le scénario est nommé aux Oscars dans la catégorie « Meilleur scénario original » et que Cate Blanchett est en lice pour l’Oscar de la « Meilleure actrice ».

Blue Jasmine Une 

 

 

Blue Jasmine Affiche

Réalisation : Woody Allen

Scénario : Woody Allen

Casting Cate Blanchett, Alec Baldwin, Louis C.K, Peter Sarsgaard,…

Genre : Comédie dramatique

Durée : 1h 38min 

Sortie en salle : 25 septembre 2013

Sortie en DVD : 29 janvier 2014

Synopsis officiel Alors qu’elle voit sa vie voler en éclat et son mariage avec Hal, un homme d’affaire fortuné, battre sérieusement de l’aile, Jasmine quitte son New York raffiné et mondain pour San Francisco et s’installe dans le modeste appartement de sa soeur Ginger afin de remettre de l’ordre dans sa vie.

Critiques de la presse : De l’avis de tous, il s’agit d’un grand Woody Allen (ce que l’on lit pratiquement à chaque fois que ce dernier sort un nouveau film, mais bon…). En tout cas, avec cet excellent film, le réalisateur réussit à livrer une grande comédie, en même temps qu’un drame terrible. Cette fable cruelle est constamment sur le fil, tout comme son interprète principale, Cate Blanchett, est à fleur de peau. Et dont on ne sait jamais vraiment à quel moment elle va basculer. Une actrice sublime, pour un film qui l’est tout autant.

Blue Jasmine Blanchett

Julie avait pu voir le film, voici un extrait de son avis que vous pouvez retrouver intégralement ici

« Pour avoir vu le film lors de sa sortie en salles, oui il s’agit à mes yeux d’un très bon Woody Allen, même si ça n’est pas son meilleur.

On y retrouve tout ce qui fait le style de son réalisateur : des situations dramatiques mais en même temps rocambolesques, des personnages hauts en couleur et une écriture très bavarde. Attention, ça n’est pas un reproche, loin de là. Car le réalisateur/scénariste use (et abuse) de ses talents à la perfection. Beaucoup de dialogues donc, mais d’une intelligence et d’une drôlerie inouïes. Tout comme le scénario qui peint avec subtilité le portrait de cette femme au bord de la crise de nerfs, cette femme déchue qui se retrouve dans un monde dont elle ne connaît pas les codes et qui ignore tout des siens. Ce qui donne lieu à des situations purement épiques… »