Une fois encore, un seul film cette semaine. Un film très attendu lors de sa sortie sur grand écran et qui avait d’ailleurs fait l’objet d’une double critique dans nos colonnes à cette occasion. Dans les bacs samedi 17 janvier.
Réalisation : Franck Miller et Robert Rodriguez
Scénario : Frank Miller, William Monahan et Robert Rodriguez, d’après les romans graphiques J’ai tué pour elle et Des filles et des flingues de Frank Miller
Casting : Josh Brolin, Eva Green, Rosario Dawson, Jessica Alba, Joseph Gordon-Levitt, Mickey Rourke, Bruce Willis, Ray Liotta, Dennis Haysbert, Christopher Meloni, Juno Temple, …
Genre : Action, Thriller, Drame
Durée : 1h 42min
Sortie en salle : 17 septembre 2014
Support : DVD & Blu-Ray
Synopsis officiel : Dans une ville où la justice est impuissante, les plus désespérés réclament vengeance, et les criminels les plus impitoyables sont poursuivis par des milices.
Marv se demande comment il a fait pour échouer au milieu d’un tas de cadavres. Johnny, jeune joueur sûr de lui, débarque à Sin City et ose affronter la plus redoutable crapule de la ville, le sénateur Roark. Dwight McCarthy vit son ultime face-à-face avec Ava Lord, la femme de ses rêves, mais aussi de ses cauchemars. De son côté, Nancy Callahan est dévastée par le suicide de John Hartigan qui, par son geste, a cherché à la protéger. Enragée et brisée par le chagrin, elle n’aspire plus qu’à assouvir sa soif de vengeance. Elle pourra compter sur Marv…
Tous vont se retrouver au célèbre Kadie’s Club Pecos de Sin City…
Critiques de la presse : Un point sur lequel tous s’accordent : Sin City – J’ai tué pour Elle est un splendide exercice de style, et ce même si la surprise du premier volet est passée. Esthétiquement toujours aussi bluffant et totalement maîtrisé sur la forme. Sur le fond, les avis ne sont plus les mêmes. Manque de subtilité de la narration, intrigues minces et confuses. Ou fidélité totale, symbiose parfaite avec le roman graphique, ambiance terriblement prenante et séduisante. Alors oui, tout n’y est pas forcément parfait, mais Sin City reste malgré tout à l’avant-garde d’une certaine forme de cinéma par son invention visuelle et son atmosphère si particulière.