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Aron Ottignon : le clip de ‘Waterfalls in Tanzania’ et un EP le 15 avril

Aron OttignonLe 15 avril prochain, le pianiste et compositeur internationalement renommé sortira son très attendu ‘Starfish’ EP. Ce n’est pas exagéré de dire que le pianiste compositeur Aron Ottignon – membre du groupe Aronas, il a aussi collaboré avec Stromae et tourné avec Woodkid – est un prodige.

Tout en amenant le jazz-fusion explosif de Culture Tunnels vers un autre niveau, cet EP combine le jeu virtuose d’Aron et ses compositions irrésistibles avec des influences du Maroc, d’Afrique de l’Ouest, du Maloya et des Caraïbes, ainsi que du sound design du 21e siècle.

Aron, qui est né en Nouvelle-Zélande, s’est établi comme l’un des meilleurs pianistes de jazz en provenance des Antipodes dès l’âge de seize ans. Résidant désormais en Europe, il a gardé un rythme de tournées mondiales trépidant, se produisant aussi bien en son nom qu’avec des collaborateurs de tous horizons.

Son approche à la technique irréprochable et pourtant imaginative a attiré l’attention bien au delà du monde du jazz, le catapultant dans les sphères de la pop, de la dance, du rock et de la world music. Voici un bref aperçu des noms les plus connus ayant fait appel à son talent : Stromae, Woodkid, Abd al Malik, James Morrison, Craig David et the Joe Zawinul Syndicate. Depuis son arrivée en Europe, Aron a tourné internationalement avec Aronas, écrit et interprété le tube de Stromae, “Papaoutai”, et participé au Golden Age World Tour avec Woodkid.

Il y a quelques années, à Londres, Aron reprenait contact avec son vieux professeur de piano Mark De Clive (MDCL), devenu un producteur réputé résidant à Los Angeles. MDCL présenta Aron à Seiji (producteur pour Bugz in the Attic) ainsi qu’à d’autres personnalités de la scène underground londonienne. Ces rencontres débouchèrent sur un nouveau monde musical, poussant Aron à explorer le potentiel de la synthèse granulaire et des paysages sonores électroniques.

Les influences sont évidentes sur ‘Starfish’. Fondé sur l’étude des traditions de la world music, à la fois dynamiques, audacieuses et contemporaines, on obtient un son qui pourrait tenir un club de Londres éveillé pendant toute une nuit, mais qui passerait également sans mal lors d’un festival. “Mon amour pour les traditions de la world music, surtout pour son apport rythmique, est une énorme influence sur ce que je joue et improvise”, explique Aron. “J’apporte ces sons dans ma musique, créant un canevas qui laisse place à l’improvisation et à la communication entre musiciens, montrant l’imperfection humaine et la nécessité de liberté d’expression”. Chaque note sur l’album est jouée live – une chose rare dans la musique enregistrée d’aujourd’hui. Pas surprenant que ‘Starfish’ se traduise donc par une représentation scénique puissante, hypnotisante, à la rythmique contagieuse.

Aron joue du piano, accompagné par Rodi Kirk (Berlin) pour séquencer les parties de batterie et s’occuper du mixage via Ableton Live et Max/MSP, et Samuel Dubois (Royaume-Uni) pour les percussions et les steel pans. “Je pense qu’aujourd’hui, plus qu’auparavant, c’est important pour le public d’entendre ce qu’il voit, avoir des instruments et des musiciens expérimentés visibles sur scène est important,” précise Aron. “Nous sommes là pour explorer les possibilités sonores électroniques, pour donner l’impression à nos auditeurs qu’ils sont dans un immense club”.


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