Des musiciens et techniciens d’horizons divers, Sam Patole illustre bien la notion de citoyen du monde.
Il s’inspire des rythmes traditionnels du monde : mazurka, biguine, zouk ou maloya, pagode, sonorités africaines et indiennes viennent compléter sa culture musicale.
Autour de ces influences, l’artiste accorde une place de choix à l’improvisation. La richesse des compositions, cette voix rare lui ont ouvert de nombreuses portes dans l’échange musical, il a ainsi partagé la scène avec de nombreux artistes comme : Didier Lokwood, Magic Malic, Sixun, L’Orchestre National de Jazz, Deep Forest…
La musique électro joue quant à elle le rôle de lien qui permet à ses multiples influences de cohabiter. Aujourd’hui, un bel exemple de partage est né avec The Monkey’s Child, 11 enfants de 9 à 15 ans qui n’en sont pas à leur premier essai ( 1er EP 6 titres sortit en digital fin octobre 2015) autour du titre évocateur « Never walk alone ».
Rencontre fusionnelle qui a donné naissance à cette perle de simplicité & d’efficacité. Trois remix de bonnes manufactures et 2 clips signé Fabrice Leseigneur, pensionnaire de la belle maison Harcourt, dont un revisité par l’oeil visionnaire de Francis Cutter, adepte du motion design, sur l’hypnotique « Black Angel House remix » synthétise le projet.
Le single est disponible est disponible depuis le début du mois et le clip est à découvrir ci-dessous !