On continue notre petit tour de la Gamescom ! Aujourd’hui, ce ne sont pas un mais trois jeux que nous avons pu découvrir en présentation. Au programme : le DLC Highlands Fishing de Farming Simulator 2025, puis on enchaîne avec le tout nouveau Warhammer 40,000: Dawn of War IV, et enfin, on termine en vitesse sur les pistes avec Project Motor Racing. C’est parti !
Farming Simulator 25 Highlands Fishing : la détente au fil de l’eau
Sortie prévue le 4 novembre 2025, la nouvelle extension Highlands Fishing de Farming Simulator 25 arrive avec une belle bouffée d’air frais. Disponible sur PC et Mac (version 1.13 ou supérieure requise), elle fait partie du Season Pass de l’année 1 mais vous pourrez aussi l’acheter séparément. Et bonne nouvelle : elle est même dispo en précommande avec une petite réduction.
Pour ceux qui seraient passés à côté, Farming Simulator est la référence en matière de simulation agricole. Depuis des années, la série de GIANTS Software permet de gérer sa ferme de A à Z : labourer ses champs, cultiver différentes plantes, s’occuper du bétail, investir dans des machines agricoles toujours plus réalistes et vendre ses récoltes pour prospérer. C’est un jeu qui mélange gestion, patience et contemplation, tout en étant incroyablement complet, bref c’est un jeu parfait pour se redétendre le week-end !
Avec Highlands Fishing, Farming Simulator s’offre une extension qui mise sur la détente, l’immersion et la diversité. Après avoir semé et récolté toute la journée, rien de mieux que de sauter dans un bateau et d’aller pêcher au large, ou d’aménager sa ferme avec encore plus de cultures et de matériel.
Entre la beauté de Kinlaig, la nouveauté qu’apporte la pêche et le plaisir de voir la série continuer d’innover, ce DLC s’annonce comme un ajout à ne pas manquer pour les fans du genre.
Warhammer 40 000 Dawn of War IV : le retour triomphal du RTS culte
Pour replacer un peu le contexte : Warhammer 40,000: Dawn of War est une licence culte du jeu de stratégie en temps réel. Le premier opus sorti en 2004 a marqué les joueurs grâce à ses batailles épiques, son ambiance sombre fidèle à l’univers Warhammer 40K et ses extensions cultes (Winter Assault, Dark Crusade). Dawn of War II (2009) a pris un virage plus tactique avec moins de construction de base mais plus d’accent sur la micro-gestion et la narration. Enfin, Dawn of War III (2017) a tenté un mélange entre les deux approches mais a divisé les fans malgré quelques bonnes idées.
Avec Dawn of War IV, KING Art Games et Deep Silver promettent un véritable retour aux sources : un RTS complet avec gestion de base, production d’unités, campagnes narratives et affrontements massifs. Bref, le mélange qui a fait le succès de la saga mais avec une ambition moderne.
Quoi de neuf dans cet opus ?
Cet épisode ne se contente pas de surfer sur la nostalgie, il apporte aussi son lot de nouveautés :
Ce qui attire tout de suite l’œil, c’est que Dawn of War IV semble vouloir renouer avec ce qui faisait la force des RTS classiques : la construction de base, la gestion des armées, les combats tactiques à grande échelle. Mais pas que : KING Art joue la carte de l’innovation avec des campagnes non linéaires, des éléments optionnels pour donner plus de liberté, des combats mêlant à la fois des tirs à distance et des mêlées brutales.
Et puis l’aspect customization semble poussé : avec plus de 110 unités / bâtiments, + de 10 Commandants jouables, un éditeur en jeu et un outil de peinture (“Painter tool”) pour personnaliser les unités, on sent que le jeu vise à ce que les joueurs s’approprient vraiment leur armée.
Le trailer CGI a été un bel aperçu : des images fortes, une ambiance sombre typique de Warhammer 40,000 et ce sentiment qu’on va retrouver ce chaos organisé qu’on aime tant.
Encore une fois, Warhammer 40,000: Dawn of War IV semble être le retour qu’on attendait depuis longtemps pour le genre RTS. Les promesses sont énormes : grandeur, stratégie, personnalisation, chaos bien dosé et une narration solide. Si le jeu parvient à tenir toutes ses promesses d’ici sa sortie, il pourrait bien devenir une référence, une bête de guerre stratégique.
Project Motor Racing : La simulation qui sent l’essence et l’adrénaline
On continue notre tour d’horizon des jeux marquants, et cette fois on s’arrête sur une licence qui veut repousser les limites de la simulation automobile : Project Motor Racing, développé par Straight4 Studios.
Ici, pas question de vous balancer un simple jeu de caisse arcade. Le studio (qui a plus de 20 ans d’expérience dans le domaine de la simu) veut nous plonger au cœur de la surcharge sensorielle d’un vrai pilote professionnel. Vous savez, ce mélange de vitesse, de pression, de danger et de précision millimétrée qui fait que chaque virage peut être votre dernier si vous le ratez d’un poil.
Project Motor Racing ne plaisante pas avec son casting de voitures. On parle de machines mythiques comme la Porsche 911 GT3 R (2023) ou encore la monstrueuse Panoz Esperante GTR-1 (1998). De quoi ravir les puristes. Mais ce n’est pas tout : le jeu inclura aussi les compétitions officielles de l’IMSA (International Motor Sports Association), histoire d’ancrer encore plus l’expérience dans la réalité du sport automobile.
Manette en main, la promesse de réalisme est bien là. On sent clairement que chaque virage demande concentration et technique, impossible de jouer en mode bourrin sans finir dans le décor. Le feeling des voitures est exigeant mais jouissif quand on commence à le maîtriser. La gestion du freinage, du poids de la voiture et du grip colle vraiment à ce qu’on peut attendre d’une simulation digne de ce nom.
Project Motor Racing veut être plus qu’un simple jeu de courses : il se pose comme une expérience sensorielle et stratégique où chaque détail compte. Avec ses licences prestigieuses, ses voitures mythiques et une exigence de gameplay qui fait plaisir à voir, il s’annonce comme un gros morceau pour tous les amoureux de simu.
Le jeu sortira sur PC, PS5 et Xbox Series. Préparez vos volants et vos casques, ça va chauffer !