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Comics en Vrac : Birds Of Prey Black Canary & Harley Quinn (Urban Comics)

Je finis le cycle Birds Of Prey avec deux ouvrages dédiés à Black Canary et à Harley Quinn.

Birds of Prey – Black Canary

3

Cette fois, on se focalise sur Black Canary. Vous savez cette héroïne experte en arts martiaux et disposant d’un cri terriblement dévastateur. Cela dit, on peut s’y tromper car avec les différentes périodes DC, la belle a changé quelque peu de passé. Ainsi, nous avons ici affaire à la Black Canary des New 52 (le reboot de 2011). Dans cette version, elle est une chanteuse dans un groupe de rock. Ce n’est pas celle que je préfère mais passons. On la retrouve donc lors de sessions musicales et chacune des apparitions de son groupe soulève l’émotion et la jalousie de ses concurrents, allant jusqu’à l’usage des poings. Cet aspect du scénario m’a un peu échappé, il est surtout inutile dans l’histoire.

Heureusement d’autres aspects sont bien mieux ficelés. La guitariste de sa formation est jeune et ne parle pas. Pas de soucis jusque-là excepté le fait qu’elle attire l’attention des troupes d’Amanda Waller. Elle semble posséder un pouvoir qui est convoité par pas mal de personnes. Là c’est mieux, cette partie du scénario nous tient en haleine et livre des personnages intéressants comme celui de Kurt, le mari de Black Canary. Globalement la BD se lit bien même si, encore une fois, certains passages, certaines transitions sont franchement contestables. En tout cas, elle a le mérite de nous permettre d’explorer un peu plus les origines de la chanteuse à la voix dévastatrice. Le tout est servi par le trait original d’Annie Wu, parfaite pour donner du style à un récit.

Contenu vo : Black Canary #1-12 + Sneak Peek Black Canary + Gotham Academy #17

Scénario : Brenden Fletcher, Matthew Rosenberg – Dessins : collectif – Urban Comics – DC Deluxe – 296 pages – janvier 2020 – prix 22,5 €

 

 

Birds of Prey – harley quinn

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Cela commence très très fort. Harley se languit, seule, s’imaginant avoir ses propres aventures dans des comics que les personnes s’arracheraient. Du coup, elle part dans un délire et on nous offre des planches faites par de grands noms du dessin comics. A chaque fois, sur une page, un dessinateur nous livre sa vision de l’héroïne : marrant et jouissif. Parmi ces dessinateurs, citons Becky, Charlie Adlard, Tony Daniel ou encore Jim Lee. Ce rêve de BD s’arrête net car une explosion survient brutalement démolissant le garage dans lequel elle vivait. Heureusement, au même moment un véhicule s’arrête juste à son niveau. A l’intérieur un homme lui tend une carte et lui apprend qu’elle a hérité d’un immeuble à Coney Island. Il est temps pour Harley de se reconstruire une vie, honnête si c’est possible.

C’est toujours aussi plaisant de voir Harley à l’œuvre. Elle est complètement déjantée et j’aime ça. Et puis cette histoire la met dans une situation compliquée, à vouloir se ranger tout en utilisant les méthodes habituelles. Le récit manque un peu d’envergure, il est surtout fait pour se changer les idées. Côté dessins, c’est top de voir les premières planches avec cette myriade de dessinateurs. Pour le reste, c’est un trait correct mais sans génie à mon goût. Enfin, jetez un œil aiguisé sur la BD, il y a une scène empruntée à une grande saga de science-fiction.

Contenu vo : Harley Quinn #1-8 + #0 + Secret Origins #4

Scénario : Amanda Conner, Jimmy Palmiotti – Dessins : collectif – Urban Comics – DC Deluxe – 232 pages – janvier 2020 – prix 18 €


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