Après le départ de mon amie, que j’avais pris l’habitude de surnommer Mappy, je dois me débrouiller seul. Ne pouvoir compter que sur moi-même, seul à l’autre bout du monde, est un des enjeux autant psychologiques que physiques que je m’étais lancé lorsque j’ai décidé de partir voyager en solitaire sur une longue distance. Ainsi, j’ai pris sur moi et mis de côté cette haine de longue date que j’ai pour les plans, cartes, guides et tout ce qui peut se référer de près ou de loin au sens de l’orientation. J’ai décidé de fraterniser avec ...
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