L’année dernière une équipe de passionnés se mobilisait pour proposer un nouveau type de festival dédié à la culture geek dont les maitres mots sont : interactivité, immersion et créativité.

Le rêve de ses créateurs est alors de réunir dans une véritable cité, culture japonaise, steampunk, médiéval fantastique, science-fiction et high-tech pour présenter un large panorama de ce qu’est la culture geek. 9 000 visiteurs découvrent le festival en 2013.

Cette année, ce sont 15 000 visiteurs qui, les 17 et 18 mai, ont sillonné les rues de cette ville où ils sont allés à la rencontre des 205 exposants (174 en 2013) qui proposaient activités et ateliers pour que chaque visiteur, découvre, apprenne, s’amuse et quitte Geekopolis riche d’une expérience inédite : être acteur de sa visite.

Cette nouvelle édition de Geekopolis a proposé près de 200 conférences et ateliers,  des concerts, des expériences scientifiques, de l’artisanat, des produits innovants, des initiations aux jeux, des rencontres avec comédiens, auteurs, stylistes, danseurs ou dessinateurs qui se sont mobilisés pour que la culture geek s’exprime dans toutes ses dimensions et dévoile sa diversité et sa richesse.

Rendue possible grâce à une campagne de financement participatif sur My Major Company et l’important soutien de Intel et Ankama, cette deuxième édition de Geekopolis a une nouvelle fois accueilli des personnalités telles que Mac Lesggy, Dominique Pinon, Simon Astier ou Peter F. Hamilton et comblé les visiteurs qui ont pu véritablement découvrir tous les pans de cette culture aux multiples facettes.

Le but des passionnés qui ont conçu ce festival est de partager leurs rêves en immergeant le visiteur dans un univers original fait d’interactivité et de créativité dans lequel 80% de l’espace est consacré au contenu et aux activités interactives.

Cependant, organiser un tel festival reste un pari que ses organisateurs devront une nouvelle fois relever l’année prochaine car si les visiteurs étaient bien au rendez-vous cette année, ils devront être encore plus nombreux en 2015 pour que vive cette cité.