Il y a quelque chose de terrifiant au royaume de l’horreur. C’est qu’on ne sait jamais sous quelle forme il est le plus inquiétant. Au cinéma, et son effet grossissant, l’atout maitre réside dans le jeu des faux-semblants. Sa plus parfaite incarnation à l’écran : l’enfant maléfique. L’Exorciste (1973), Dark Water (2002), The Grudge (2004), l’époque ...