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MaXoE Festival : La sélection Ciné – Catégorie Fantastique / S-F / Super-Héros

Même principe de pour la musique, la rubrique cinéma de ce premier MaXoE Festival propose également une sélection par catégorie. Et ce sont trois catégories cousines qui démarrent la série. Attention, il y a des collants bleus !

MaXoE Festival Cinéma

Iron Man III

Iron Man 3 AfficheAlors que le deuxième film débutait là où s’achevait le précédent, Iron Man III s’offre un petit saut dans le temps puisqu’il fait suite aux événements survenus dans The Avengers. Mais pas d’inquiétude, il n’est pas vital d’avoir vu ce film pour comprendre les tenants et aboutissants de ce nouvel Iron Man.

Au début, on y retrouve un Tony Stark (Robert Downey Jr.) émotionnellement marqué par les “péripéties” (sauver le Monde, rien que ça !) vécues aux côtés des autres Vengeurs. Outre de régulières crises d’angoisse qu’il ne peut calmer qu’en se réfugiant à l’intérieur de son armure, notre héros passe ses jours et ses nuits à concevoir de nouveaux prototypes, à tel point que ceci vire à l’obsession. Obsession d’un besoin de surprotection, sans nul doute. Le problème est que cela vient en partie entacher sa relation avec Pepper Potts (Gwyneth Paltrow), dans laquelle le nabab avait réussi à trouver un certain équilibre.

Après un bref flashback lors du nouvel an 1999 qui pose les bases, a posteriori, de la future intrigue, le film revient en 2013 pour révéler l’existence d’une nouvelle menace en la personne du Mandarin (Ben Kingsley), un mystérieux terroriste revendiquant une série d’attentats à la bombe meurtriers un peu partout sur le globe. Stark s’en désintéresse. Et le gouvernement états-unien, impuissant, fait appel au lieutenant-colonel James Rhodes (Don Cheadle) – alias War Machine, mais rebaptisé pour l’occasion Iron Patriot – pour tenter de régler ce léger problème. Mais c’était sans compter sur le fait que l’autre grand ami de Tony – Happy Hogan (Jon Favreau, réalisateur des deux premiers volets) – est pris pour cible par Le Mandarin. Ce qui pousse Iron Man à reprendre du service. D’autant que ces événements s’entremêlent avec une sombre histoire de traitement expérimental. Et qu’il se pourrait bien que quelqu’un d’autre tire les ficelles de tout ceci…

Pour le double avis complet sur le film, c’est par ici.

 

Man of Steel

Man of Steel AfficheLa planète Krypton. Ou plutôt sa fin. Son noyau est devenu instable, rendant la destruction de la planète imminente.

Pendant que Krypton se meurt, un kryptonien naît. Son père Jor-El (Russell Crowe) et sa mère Lara (Ayelet Zurer) le placent dans une capsule avec le codex génétique des kryptoniens pour lui sauver la vie et tenter de perpétrer leur espèce. Sa destination : la Terre. En parallèle une partie de l’armée – avec à sa tête le Général Zod (Michael Shannon) – organise par instinct de survie un coup d’Etat contre le pouvoir politique avec pour but d’éliminer une frange de la population histoire de sauver la branche considérée comme supérieure. Le putsch finit par être déjoué, ses fomenteurs envoyés dans la Zone Fantôme afin d’y purger leur peine. Mais Jor-El est mort, assassiné par Zod, ce dernier voulant empêcher le départ du nourrisson et du codex pour la Terre, en vain.

Une ellipse. Un bateau de pêcheurs en pleine mer. Son équipage reçoit un appel de détresse d’une plate-forme pétrolière en feu non loin d’eux. Les hommes à leur bord sont apparemment condamnés. Un des membres de l’équipage des pêcheurs disparaît. Pour se retrouver sur la plate-forme et sauver ses hommes voués à la mort, grâce à une force surhumaine. Après le sauvetage spectaculaire, plus aucun signe du mystérieux individu qui, partout où il passe, masque son identité et efface ces traces. Il semble mener une quête.

L’intégralité de la critique se trouve ici, et c’est encore un double avis.

 

Hunger Games – L’Embrasement

Hunger Games AffichePanem. District 12. Après avoir remporté de concert la soixante-quatorzième édition des “Hunger Games”, Katniss Everdeen et Peeta Mellark sont installés avec leurs familles respectives au Village des Vainqueurs. Et depuis, ils s’ignorent. Comme si rien de tout cela n’était arrivé. Katniss a recommencé à chasser dans les bois avec son ami Gale, cherchant à oublier l’horreur de ce qu’elle vient de vivre.

Mais la Tournée des Vainqueurs est imminente. Elle implique pour Katniss et Peeta de faire le tour des différents Districts de Panem afin de rendre hommage aux vaincus, mais aussi et surtout de porter la voix du Capitole – rappelant ô combien le peuple est à la merci du gouvernement. Ils se doivent donc de jouer le jeu du petit couple filant le parfait amour, ce que ne manque pas de répéter le Président Snow à Katniss. Car il semblerait que par son attitude lors des Jeux, celle-ci doit devenue une menace. Une étincelle qui pourrait potentiellement permettre à tout Panem de s’embraser. Une nouvelle fois.

Au cours de la Tournée, Katniss ressent un malaise dans les différents Districts. Un malaise que l’on tente d’étouffer mais qui est suffisamment présent pour être identifié. L’ombre d’une rébellion plane et, malgré elle, Katniss en est la pierre angulaire. Elle a redonné au peuple de Panem une chose qu’il croyait avoir définitivement perdu. L’espoir.

Mais le Capitole ne l’entend pas de cette oreille et son Président cherche par tous les moyens à neutraliser la jeune fille. Ce sont les soixante-quinzième “Hunger Games” qui vont lui offrir la solution. Tous les vingt-cinq ans sont organisés des Jeux un peu spéciaux appelés “Jeux de l’Expiation”. Encore plus terribles. Encore plus inhumains. Avec des règles particulières, changeant à chaque édition. Pour celle-ci, le Président Snow décide de sélectionner les Tributs de chaque District parmi les vainqueurs des éditions précédentes. Si – du côté des hommes – il y a deux anciens vainqueurs (Peeta et Haymitch Abernathy), Katniss est la seule gagnante féminine de son District encore en vie… Puisse le sort lui être favorable.

Pour lire (ou relire) l’article consacré à ce film, c’est juste là.

 

The Hobbit – La Désolation de Smaug

The Hobbit II AfficheBree, en bordure de la Comté. L’Auberge du Poney Fringuant est pleine à craquer, comme à son habitude. Un homme de petite taille est installé à une table, et visiblement il n’est pas tranquille. Il se sent observé. Menacé même. Quelqu’un s’assied en face de lui. Et les choses semblent s’apaiser. Du moins pour un temps. Car ce quelqu’un, c’est Gandalf Le Gris, un puissant Mage. Il vient proposer au petit homme de mener une quête afin de récupérer ce qui lui est dû. Peu de choses en somme, simplement un Royaume sous la Montagne rempli d’or et de pierres précieuses. Le petit homme n’est en effet rien de moins que Thorin Écu-de-Chêne, héritier déchu de ce Royaume. Et pas déchu par n’importe qui. Déchu par un dragon. Déchu par Smaug, qui s’est approprié le trésor et le garde jalousement. Mais pour parvenir à se faire restituer ce qui lui revient de droit, Thorin Écu-de-Chêne doit s’entourer de ses compagnons d’infortune. Mais également d’un cambrioleur…

Bilbon est parti en éclaireur. Les Orques sont toujours à leurs trousses. Grâce à Gandalf, l’équipée trouve refuge pour la nuit, mais ils ne peuvent s’attarder plus. Le Jour de Durin approche, ce qui représente leur seule chance de trouver la serrure leur permettant d’entrer dans le Royaume d’Erebor. Les compagnons repartent donc. Et les Orques ne sont plus leur seule menace.

Si vous souhaitez en savoir plus, la double-critique de ce film (décidément !) est par là.


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