Comme nous l’avions déjà dit, tout comme la musique et le cinéma, le jeu vidéo est un art à part entière. Avec les technologies actuelles dont nous disposons, les artistes peuvent « enfin » laisser libre cours à leur talent, leur créativité et leur imagination. Certain(e)s d’entre eux donnent alors vie à des œuvres tout à fait singulières. C’est ainsi qu’aujourd’hui, pendant notre MaXoE Festival, et juste avant sa critique, je vous propose un de ces jeux en Mini-Unboxing : Inked – A Tale of Love, distribué par Red Art Games.

Pour rappel, le distributeur Red Art Games est spécialisé dans les moutures et ressorties de softs indépendants en physique comme Candleman, Light Fairytale Ep1, Record of Lodoss War -Deedlit in Wonder Labyrinth-, Children of Zodiarcs, Nuclear Blaze,…

Déballage et présentation

Pour ce tout nouveau Mini-Unboxing consacré à Inked – A Tale of Love, vous l’aurez remarqué, l’habillage visuel possède un cachet immédiat.

Ce titre développé par Somnium Games, édité par Pixmain et donc distribué par Red Art Games, est disponible à la fois sur Playstation 4 et Nintendo Switch, respectivement limité à 999 et 2900 exemplaires.

Si la face avant laisse entrevoir un samouraï au superbe coup de crayon, en précisant que le soft est précisément rendu dans ces mêmes tons, nous ne sommes pas face à un jeu d’Action mais à un jeu d’Aventure-Puzzle où l’observation fait office de clé.

D’ailleurs sans trop en dire, l’épopée nous met face à un personnage samuraï de son état, ayant abandonné son nom. La guerre étant loin et en temps de paix, notre héros décide simplement de se retirer et de vivre paisiblement auprès de sa bien-aimée Aïko, adepte de la peinture sur toile. Dans cet environnement paisible se trame quelque chose, la visite d’un animal blessé venant chambouler les deux tourtereaux… Je m’arrête volontairement ici pour le moment.

La face arrière présente évidemment toutes les caractéristiques habituelles, ici pour Inked – A Tale of Love, il s’agit d’une aventure à un(e) seul(e) joueur(euse), le poids de l’installation fait l’équivalent de 4GB, il y aussi des fonctions de vibration et le support du remote play. Précision importante, si vous voulez garder un maximum de surprises, évitez de lire le synopsis tout de suite puisque l’histoire se met en place sur quelques chapitres. Dernière chose, bien entendu le soft est compatible sur PS5.

À l’intérieur de la boîte, on retrouve évidemment le Saint-Graal, c’est-à-dire le jeu sur disque dans son intégralité, aucun téléchargement n’est requis, ainsi qu’une très belle jaquette réversible permettant de cacher toutes les informations des faces avant/arrière si le cœur vous en dit.

Le petit plus de cette édition vient aussi du Notebook limité avec sa « couverture » plastifiée, réservé aux mille premières commandes, celui-ci est entièrement vierge pour laisser libre cours à vos créations, ce que les développeurs ont d’ailleurs fait à partir d’une galerie visionnable en plein jeu.

J’arrive maintenant à la fin de ce Mini-Unboxing, on se retrouve très rapidement pour le test dédié à Inked – A Tale of Love !