Souvenez-vous, l’an dernier, Disney faisait fantasmer les fans avec la première version de Disney Infinity, une espèce de Skylanders mâtiné de Little Big Planet qui promettait d’incarner à l’écran des personnages Disney via de charmantes figurines, tout en ayant la possibilité de créer son propre univers, presque son propre jeu, via un éditeur surpuissant. Les plus médisants se demandaient comment tout cela allait tenir sur une seule galette des consoles de l’ancienne génération… et ils ont eu raison. Jeu d’action mou aux contrôles immondes, particulièrement les véhicules, répétitif au possible, mal réalisé, et pour couronner le tout grevé d’un éditeur qui tenait de l’usine à gaz improbable à l’ergonomie inaccessible aux adultes les ... LIRE LA SUITE

Exit EA, bienvenue Deep Silver pour cet opus 2014 de Nascar. Le Nascar, qu’est-ce donc ? Des pilotes qui tournent sur un oval pendant des centaines de tours… Et avec ça, quelqu’un a eu l’idée saugrenue de faire un jeu de course. Ah. Un jeu de cartes, de stratégie, de gestion, pourquoi pas, mais de course… Enfin, passons. Après investigation menée de main de maître, il s’avère que le jeu regroupe les voitures et pilotes officiels du Nascar. Hourra. Plus la possibilité de créer son propre pilote. Et les circuits officiels du championnat principal, la Sprint Cup. C’est-à-dire, en gros, une vingtaine d’ovales (avec trois exceptions oubliables). Et pour profiter de ce contenu qui fera exulter les fans, il y en a, du matériel : en dehors du classique mode ... LIRE LA SUITE

  Le principe du jeu est celui de courses de voitures jouets. Jusque-là pas de soucis, on connait cela dans bien d’autres jeux. Vous voilà donc au volant de petites bagnoles dans un décor digne de Toy Story. Seulement voilà, il y a un gros souci, la maniabilité est horripilante. La voiture est très compliquée à dirigér avec des embardées pas possible au moindre coup de stick. On peut déraper, à la manière d’un Mario Kart, mais aucune autre comparaison possible sur le plaisir de jouer. C’est ingérable et on se demande comment le jeune public, cible du soft, va s’en sortir. Il y a un boost assigné à une jauge mais on vous déconseille de trop l’utiliser tellement les voitures sont peu maniables. Des bonus sont présents sur la piste, histoire d’envoyer deux ... LIRE LA SUITE

Bien pratique, ce titre, puisqu’il résume tout ce qu’il y a à dire sur cet opus Vita… Car le problème est simple, et même évident : comment faire tenir toute la richesse, ne serait-ce que la base de données du jeu, sur une Vita, console, déjà, et nomade, en plus ? Tout simplement en s’en tenant, pour commencer, au mode Classic de son homologue PC, un mode beaucoup moins riche que l’original pour joueur pressés ou occasionnels qui n’ont pas l’occasion de passer des nuits et des nuits devant leur écran. L’idée était louable, et au demeurant pas mal exécutée sur PC, et paraissait coller à merveille au monde du jeu nomade. Le problème, c’est que vouloir faire un portage de ce genre de jeu, et mieux encore, en tous cas sur le papier, le transfert ... LIRE LA SUITE

Pourtant, le premier contact est agréable : le matériel est de qualité, avec notamment un soin particulier apporté aux figurines qui sans atteindre des sommets d’esthétisme sont tout de même fort plaisantes à l’œil. La truffe humide et l’oeil brillant on insère donc la galette dans le lecteur, on connecte son portail, on pose sa figurine et son pack aventures et… Oups. D’abord, le concept du pack aventures est assez étrange. Dans Skylanders, référence immédiate en la matière, on avait d’abord une solide aventure raisonnablement scénarisée, que l’on pouvait ensuite agrémenter de quelques DLC sournoisement dissimulés en nouveaux petits jouets. Disney a pris le parti de commencer par cela, car à côté des trois aventures initiales, pas bien longues pour ... LIRE LA SUITE

La preuve est faite depuis longtemps, comme par le studio Klei, que de gros moyens ne suffisent pas à faire un bon jeu, et qu’il vaut mieux être créatif que riche en la matière. Et cette leçon, sur ce coup-là, EA aurait dû la faire sienne… Car Fuse est, ni plus ni moins, un clone de Gears of War et de Killzone. Mais attention, un clone des débuts de ces jeux-là. A telle enseigne que tout, absolument tout les poncifs de ce genre de jeu sont là, comme autant de passages obligés. Du jeu en coop ? Présent. Des environnements désolés avec juste le caillou qui va bien pour se cacher ? Check. Même le mode Horde est de la partie… Nous suivons donc le destin de quatre mercenaires dans un monde dont la principale richesse est le Fuse, matière étrange qui décuple le potentiel de son ... LIRE LA SUITE

Car nous n’allons pas aller par quatre chemins : Aliens Colonial Marines est un mauvais jeu. Dès le début, on a les yeux qui piquent : pixellisation, modélisation des visages austère, textures simplistes… Même le doublage est loin, très loin, d’être réjouissant. Ainsi donc, nos sémillants Marines reçoivent le message de détresse de Hicks qui les appelle sur le vaisseau à la dérive d’Aliens (donc le deuxième). On oubliera qu’il est déjà parti, à ce moment là, vers la prison du 3, mais on en est plus là. De même, vous serez amené plus tard à visiter une colonie qui s’est fait vaporiser durant le film. Autant le dire aussi, les développeurs n’ont pas un grand respect de la licence. Cinématiques hors d’âge, narration hachée où manquent ... LIRE LA SUITE