Ce titre d’Action-Aventure Story-Driven a donc été réalisé par Myrkur Games, une équipe fondée en 2016 par le trio Daníel Arnar Sigurðsson, Friðrik Aðalsteinn Friðriksson et Halldór Snær Kristjánsson -également CEO (PDG)- s’étant rencontré à l’université de Reykjavik alors qu’ils étudiaient le développement de jeux vidéo. Par ailleurs, Myrkur Games a emménagé dans un nouveau studio au cours du début de l’année 2021, plus précisément à Reykjavik justement, en Islande. Composé aujourd’hui d’une quarantaine de personnes, ils étaient seize avant de collaborer avec Deep Silver/Plaion, l’équipe a travaillé sur son premier « AA » (Echoes of the End) avec des talents provenant de CCP Games, Ubisoft, Supermassive, The Bearded Ladies ou encore Massive Entertainment. Le ... LIRE LA SUITE

Comme pour l’édition originale, le titre a été réalisé par l’équipe britannique passionnée de Ninja Theory, composée d’un peu plus d’une centaine de personnes basées à Cambridge depuis maintenant plus de vingt ans. Un studio dont la philosophie est de créer des expériences percutantes fortement reconnu pour ses différentes œuvres, certaines ayant même reçu des prix, notamment aux BAFTA. On leur doit ainsi Heavenly Sword, Bleeding Edge, DMC – Devil May Cry, Nicodemus – Demon of Evanishment ou encore Project Mara actuellement en cours de développement. Et bien entendu la franchise Hellblade avec Hellblade – Senua’s Sacrifice (venant de sortir sur PS5), ainsi que Senua’s Saga – Hellblade II dont il est question aujourd’hui pour la sortie Enhanced du soft. ... LIRE LA SUITE

Le soft a donc été réalisé par deux équipes de développement, celles de Bushiroad Games et d’Eighting. Concernant la première équipe japonaise nommée, on leur doit notamment la franchise Weiss Schwarz, Perennial Dusk -Kinsenka-, Process Order, Cardfight!! Vanguard ou encore MACROSS -Shooting Insight-, tandis que le second studio, japonais lui aussi et filiale de Colopl, a notamment réalisé DNF Duel, le Remaster d’Onimusha 2 ou encore Castlevania Judgment pour ne pas tous les citer. Les modes Juste avant de parler du « scénario » (mode Histoire) cachant en partie le Tutoriel, passons par les modes de jeu. Pour ce titre de baston, nous avons un mode « Entraînement » servant à perfectionner ses combos ou encore son timing sans passer par la case Tutoriel, pratique pour notamment réviser les ... LIRE LA SUITE

Avant de vous parler de l’extension, je vous propose de relire notre test ici. Je vous en donne quelques extraits de ce test ci-dessous.  Le mode classique est celui des plateaux, Parlons-en un peu. Circuit Déjanté vous propose de vous éclater sur une circuit automobile. C’est sympa mais sans grandes surprises au final. Galeries Arc-En-Ciel nous emmène dans un centre commercial. Le plateau est plutôt marrant avec ses nombreuses occasions d’acheter des objets en tout genre et son tracé propice aux renversements de situation. J’ai beaucoup aimé aussi île Goomba qui propose un volcan en son sein et des marées hautes et basses qui bousculent pas mal les parties.  Il y a aussi deux plateaux provenant d’anciennes versions de Mario Party. Ainsi Western Land vous propose de progresser ... LIRE LA SUITE

On l’avait déjà évoqué lors d’une précédente critique, la saga Killing Floor a été réalisée par l’équipe de Tripwire Interactive. Pour rappel, le studio a été fondé en 2005 par des joueur(euse)s de la communauté de « moddeurs », les développeurs ont ensuite réalisé et publié deux franchises désormais reconnues dans l’industrie. La première est Rising Storm et la seconde Killing Floor susmentionnée. A noter que ces deux licences ont additionné un peu plus d’une vingtaine de millions d’exemplaires vendus à l’année 2020. On leur doit également d’autres jeux à l’instar de Maneater, et sous leur label Tripwire Presents / Tripwire Interactive, ils ont publié des titres comme Road Redemption, Chivalry 2 ou encore Espire 1 – VR Operative, ainsi que The Stone of Madness ... LIRE LA SUITE

Un univers toujours aussi envoûtant Visuellement, Nightreign reprend le moteur graphique de Elden Ring sans grande évolution, mais cela reste très efficace. L’univers est sombre, mystérieux et regorge de détails macabres et de panoramas vertigineux. L’ambiance sonore participe toujours à l’immersion : nappes de sons inquiétantes, hurlements au loin, quelques musiques orchestrales mais malheureusement de ce coté elles se font très discrètes contrairement au jeu précédent. Le lore reste cryptique, fidèle à la tradition FromSoftware et les fans y trouveront quelques références à l’histoire de l’Entre-Terre. Malheureusement avec une seule carte (malgré 4 variantes) la redondance se fait sentir et ce qui nous paraissait être un panorama vertigineux revient à une simple ballade dans un ... LIRE LA SUITE

On ne va évidemment pas vous faire l’affront de vous mentionner les différents travaux du bien connu studio Arc System Works, juste vous indiquer en complément de la majorité féminine ayant développé le soft Dear me, I was…, la présence de Taisuke Kanasaki. Ce dernier avait notamment œuvré, généralement à la direction artistique, sur le retour d’Another Code avec Another Code – Recollection (et donc les deux softs initiaux), Hotel Dusk – Room 215, Granblue Fantasy Versus / Versus Rising (illustrations) ou encore à la réalisation de Chase – Cold Case Investigations ~Distant Memories~ pour ne pas tous les citer. Et bien sûr Dear me, I was… dont il est question aujourd’hui pour cette critique. Une histoire touchante Si vous connaissez Another Code, il n’est pas ... LIRE LA SUITE